Porte bonheur

Tu trouveras ici toutes les significations de chaque motif : 

Le trèfle à 4 feuilles :

L’origine de l’utilisation du trèfle comme symbole national irlandais remonte au Moyen-Age.

Les quatre feuilles représentent la foi, l’espoir, la chance et l’amour.

La légende raconte que Saint Patrick utilisa un trèfle pour faire comprendre au peuple irlandais le concept de « Sainte Trinité », et ainsi les convertir.

L’éléphant :

Les représentations d’éléphants constituent un type de porte-bonheur commun à toute l’Asie. Elles sont toutefois particulièrement présentes en Inde et en Thaïlande.

L'éléphant symbolise la force, le pouvoir, la stabilité et la sagesse.

Gland :

Ils étaient associés à la magie et plus particulièrement aux sorcières.

Quand les magiciens et guérisseurs se croisaient dans les bois ils s’échangeaient des glands comme signe de reconnaissance. Ils pouvaient ainsi s’assurer que leurs secrets ne seraient pas dévoilés.

Porte-bonheur surtout connu en Grande-Bretagne. Il est souvent dit que les glands aident à avoir une bonne ou meilleure santé.

En porter un est censé protéger des maladies. 

Fer à cheval :

Le fer à cheval est le porte-bonheur le plus répandu aux États-Unis.

Énormément de gens sont convaincus que suspendre un fer à cheval au-dessus de sa porte apportera protection et bonheur dans sa maison. Il reste pourtant un point de divergence. En effet, c’est la façon de suspendre ce porte-bonheur qui fait débat.

Attrape-rêves : Amérindien :

Utilisé par les Amérindiens, l’attrape-rêves est utilisé par ceux qui ont du mal à dormir.

On dit que l’attrape-rêves piège tous les cauchemars tout en permettant aux rêves plus positifs de s’écouler librement.

La légende autour de ce porte-bonheur raconte que lorsque le soleil se lève, les mauvais rêves capturés se dissolvent car ils ne peuvent pas survivre à la lumière du jour.

Ce sont les Chippewas, des indiens d’Amérique, qui ont conçu ces attrape-rêves pour protéger leurs enfants.

La forme en toile d’araignée trouve son origine dans la légende d´Asibikaashi, une femme araignée qui était considérée comme la gardienne de tous les enfants selon les mythes des Chippewas.

La main de Fatma :

La main Fatma est un emblème couramment employé par les communautés juives et musulmanes comme porte-bonheur.

On dit qu’elle protège les gens des énergies négatives et apporte le bonheur à son propriétaire.

Selon la culture dans laquelle il se trouve, ce porte-bonheur peut avoir différentes significations.

Scarabée :

Pour les Egyptiens, cet animal représentait la création perpétuelle et la vie éternelle.

Des historiens ont émis comme théorie que les Égyptiens l’ont associé au voyage du soleil dans le ciel.

De plus, le scarabée peut parfois pondre ses œufs dans les cadavres d’autres animaux morts.

Un lien a donc pu se faire avec le cycle de la vie où toute naissance prend sa place dans la mort de ce qui précède. 

Le scarabée est donc un porte-bonheur très puissant.

L’oeil d’Horus :

Horus est la plus ancienne divinité d’Égypte. Le démon lui aurait arraché l’œil avant qu’il ne le lui rende.

L’œil d’Orus est donc un symbole de protection et de guérison.

Chiffre 7 :

Dans toutes les civilisations il est considéré comme le signe de la plénitude ou de la perfection.

En numérologie il désigne la connaissance, l’analyse, la profondeur, le calme, la réflexion et la chance. Le chiffre 7 est omniprésent et c’est là une vérité indéniable. À titre illustratif, les jours de la semaine sont au nombre de 7.